ORDONNAC
Votre itinéraire
Eglise Saint Romain d'Ordonnac
Ancien Presbytère
Ancienne abbaye de l'Île
Eolienne Bollée
Tumulus de Barbehère
Potensac
Fouilles Archéologiques du Bois Carré
Eglise de Saint Yzans de Médoc
Lavoir de Saint-Yzans de Médoc
Eglise Saint Romain d'Ordonnac
Points d'intérêt
Abbaye de l'Isle
L’abbaye Saint Pierre de L’Isle, fondée en 1128 par l’archevêque de Bordeaux, Geoffroy de Loriole, a été détruite par les armées du célèbre prince noir, surnom donné au Prince de Galles. Très fréquentée par les pèlerins qui trouvaient ici le repos et un point d’eau. Désaffectée depuis plus de 3 siècles, il ne reste de cet édifice religieux qu’un pan de mur percé d’une fenêtre en ogive, une partie de la salle des gardes et les écuries.
Tumulus de Barebehère
Monument mégalithique, il fut érigé il y a environ 4000 ans avant notre ère au cours du Chasséen, culture typiquedu Néolithique (Néolithique : âge de la pierre polie). Il est un des monuments les plus anciens et les mieuxconservés en Gironde.Le dolmen est recouvert par un tumulus de terre et de pierres d’environ 20m de diamètre et 2m de hauteur, construitsur un socle calcaire. Il se compose d’une chambre funéraire (10m3) et d’une zone d’accès. Il s’agit d’une importantesépulture collective ayant servi au Néolithique et à l’âge de Bronze, où 80 squelettes ont été dénombrés etoù l’on a retrouvé des céramiques, parures et outils en os. Le monument est complet à l’exception des dalleshorizontales du toit de la tombe qui a disparu.
Chapelle et Fontaine de Potensac
Chapelle Saint Martin (fin XIXe s.)Le portail restant est celui d’une ancienne chapelle construite par un groupe de propriétaires viticoles. Vers 1950, le clocher fortement abîmé nécessite des frais de réparation que la commune refuse de payer. Vendu au château Potensac, le bâtiment est converti en chai à bouteilles, après la démolition du clocher. Fontaine en pierreCette fontaine, peut-être ancienne, est rarement sèche. Les femmes y lavaient autrefois le linge et les paysans y abreuvaient leurs bêtes. Lors de la coupure de l’adduction d’eau qui suit la tempête de décembre 1999, les villageois s’y ravitaillent à nouveau. Certains continuent de l’utiliser.